Cour d'assises des Bouches-du-RhĂŽne. 4e trimestre 1867. PrĂ©sidence de M. le conseiller Mahyet. Association de malfaiteurs. Vols, tentatives de vol, assassinat Crimes commis Ă  Nice, Marseille et Aix. (SignĂ© : J. BaĂŻssas.)" (1867) de JĂ©rĂŽme BaĂŻssas avec France. Cour d'assises. Aix-en-Provence, Bouches-du-RhĂŽne comme Éditeur scientiïŹque "Cour d'assises des Bouches-du
Assises Sofian Guiraud a-t-il tuĂ© Abdelkarim Koukouch ? Le procĂšs de l’assassinat de ce trentenaire, le 21 juillet 2014, devant le stade RenĂ©-Cassin de Tarascon, dĂ©bute aujourd’hui Ă  Aix-en-Provence Qui a tuĂ© Abdelkarim Koukouch, le 21 juillet 2014, aux abords du complexe sportif RenĂ©-Cassin de Tarascon, vers 20h40 ? C’est la question Ă  laquelle la cour d’assises des Bouches-du-RhĂŽne sera confrontĂ©e Ă  partir d’aujourd’hui Ă  Aix-en-Provence, et durant toute la semaine. Une affaire qui comporte Ă  ce jour encore de nombreuses zones d’ombre. À la barre, Sofian Guiraud, 19 ans au moment des faits et principal suspect, est accusĂ© d’homicide volontaire avec prĂ©mĂ©ditation. D’assassinat, banal conflit de voisinage serait Ă  l’origine de cette triste affaire. En effet, un Ă©change houleux se serait produit au dĂ©but de l’étĂ© 2014 entre les familles El Fellaoui et Koukouch, voisines d’un mĂȘme immeuble de Tarascon, au sujet de traces d’urine dans les par Pour une lĂ©galisation, comme au Luxembourg et d’autres pays. Pour la culture et la consommation. Que les gens arrĂȘtent d’acheter du cannabis coupĂ© à
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] L’article dans son intĂ©gralitĂ© sur La Provence
Dansle box de la cour d’assises des Bouches-du-RhĂŽne, oĂč ils comparaissent Ă  partir de lundi 6 dĂ©cembre, « ZZ », le surnom de Samir Zerouali, et « Jimmy », celui de Khadim Thiam, contesteront ĂȘtre les auteurs de cet assassinat. Ils avaient 21 et 23 ans au moment des faits et une mauvaise rĂ©putation. Le premier se revendique comme un
Archives Marseille, 12 dĂ©cembre. - Un passif de 3 milliards 200 millions de francs de l'Ă©poque, une faillite retentissante avec deux mille crĂ©anciers, une information pĂ©nale ouverte aboutissant Ă  l'origine Ă  huit inculpations pour abus de confiance, recel, banqueroute frauduleuse et complicitĂ©, une cascade de procĂ©dures diverses, tant au tribunal de commerce qu'au tribunal civil. C'Ă©tait, en novembre 1957, l'affaire Jacquet-Francillon, agent de change de onze ans de vicissitudes diverses, la cour d'assises des Bouches-du-RhĂŽne avait, mardi et mercredi, Ă  en connaĂźtre enfin le fond, ayant Ă  juger l'un des inculpĂ©s, mais un seul, Lucien Bonmartin, remisier en Bourse, considĂ©rĂ© dĂšs les origines comme l'un des responsables de cette catastrophe financiĂšre, mais qui, bien naturellement, du fait de sa position d'accusĂ© solitaire, allait chercher Ă  se prĂ©senter comme un les autres ne sont plus lĂ , ou il n'y sent pas encore. L'un, que l'on pouvait croire au dĂ©part le principal, c'est-Ă -dire M. NoĂ«l Jacquet-Francilion, est dĂ©cĂ©dĂ© aprĂšs plusieurs annĂ©es de dĂ©tention prĂ©ventive. D'autres ont bĂ©nĂ©ficiĂ© de non-lieu. Enfin, deux des personnages qui, avec le temps, sont apparus comme les instigateurs et les animateurs principaux. Camille et Joseph Olive, sont absents, le premier faisant l'objet d'une expertise psychiatrique en raison de son comportement en prison, oĂč il promet des chapeaux de cardinal Ă  qui vient le voir, l'autre s'Ă©tant rĂ©fugiĂ© en Uruguay et devant, ce jeudi, ĂȘtre jugĂ© par contumace. Article rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s Mais, pour les neuf JurĂ©s de la cour d'assises, il fallait bien expliquer cette situation peu commune et les raisons d'une aussi longue attente. L'explication tient, semble-t-il, dans la bĂ©vue commise au dĂ©part. AprĂšs la clĂŽture de l'information pĂ©nale - conduite d'abord par M. Delmas-Goyon, qui ne put la terminer, ayant Ă©tĂ©, entre temps, nommĂ© Ă  Paris, - les inculpĂ©s avaient Ă©tĂ© renvoyĂ©s par son successeur, en 1959, devant le tribunal correctionnel de Marseille. A cette audience l'une des parties civiles, qui n'est d'ailleurs pas prĂ©sente aujourd'hui, fit observer que M. Jacquet-Francilion Ă©tant agent de change, c'est-Ă -dire officier ministĂ©riel, l'affaire relevait automatiquement de la cour d'assises. Le tribunal correctionnel se dĂ©clara, dans ces conditions, incompĂ©tent, et il fallut recourir Ă  la procĂ©dure d'assises. La cour d'Aix-en-Provence commença par confirmer le jugement d'incompĂ©tence du tribunal correctionnel. Un premier pourvoi en cassation fut formĂ© et admis. On se retrouva ainsi devant la cour de Montpellier, dont l'arrĂȘt fut Ă  son tour cassĂ©, et le dossier fut finalement renvoyĂ© Ă  Dijon, dont la cour ne retint alors comme accusĂ©s dĂ©finitifs que NoĂ«l Jacquet-Francilion, Camille et Joseph Olive et, enfin, Lucien Bonmartin. Puis NoĂ«l Jacquet-Francilion, mis en libertĂ© provisoire en raison de son Ă©tat de santĂ©, mourut. AprĂšs quoi Camille Olive, bĂ©nĂ©ficiant lui aussi de la libertĂ© provisoire, disparut. On devait le retrouver en 1967 seulement Ă  Rome, oĂč la police italienne l'arrĂȘtait pour une affaire de grivĂšlerie dans un palace. La France obtint sans difficultĂ© l'extradition et l'on pensait alors pouvoir le juger en compagnie de Lucien Bonmartin, puisqu'ils restaient les deux seuls inculpĂ©s que la justice avait sous la main. Mais voici que Camille Olive, Ă  la prison des Baumettes, se comporta d'une façon telle qu'on douta de son intĂ©gritĂ© mentale. Des experts ayant demandĂ© Ă  l'observer en milieu psychiatrique avant de se prononcer dĂ©finitivement, on ne voulut pas cependant faire languir plus longtemps Lucien Bonmartin, qui, lui, acceptait le dĂ©bat. Et c'est ainsi que ce dernier s'est retrouvĂ© seul accusĂ© de cette session extraordinaire des assises des Bouches-du-RhĂŽne. Il vous reste de cet article Ă  lire. La suite est rĂ©servĂ©e aux abonnĂ©s. Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil Ă  la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. DĂ©couvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil Ă  la fois ordinateur, tĂ©lĂ©phone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous ĂȘtes la seule personne Ă  consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez Ă  lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connectĂ© avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant Ă  des moments diffĂ©rents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
LaCour d'assises des Bouches du RhĂŽne Ă  Aix en Provence intervient Ă  la suite d'une dĂ©cision de mise en accusation suite Ă  une instruction contrairement au Tribunal correctionnel qui est saisi Ă  la suite d'une ordonnance de renvoi. Cette dĂ©cision entraĂźne seule la compĂ©tence de la Cour d’assises des Bouches du RhĂŽne qui statue aussi bien en premier
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Lacour d'assises des Bouches-du-RhÎne, en France, a rendu son verdict dans le cadre du procÚs en appel d'un Algérien.
Lisez tous les articles premiums avec votre abonnement numĂ©rique S'abonner Ă  1€ mercredi 01/07/2020 Ă  09h09 Faits divers - Justice Aix-en-Provence Malik Ballestero comparaĂźt depuis hier pour une mystĂ©rieuse tentative de meurtre en 2017 Le 28 janvier 2017 vers 18h, la police avait Ă©tĂ© appelĂ©e au Jas de Bouffan pour des coups de feu dans une Ă©picerie. IdentifiĂ© par la victime, indemne, Malik Ballestero s'Ă©tait rendu le lendemain. Illustration Il s'Ă©tire calmement de tout son mĂštre 88, Ă©changeant quelques mots avec les policiers qui l'encadrent dans le box des accusĂ©s. Sur l'instant, on l'imagine mal courir en gilet pare-balles avec un fusil Ă  pompe derriĂšre un autre homme, et en faire usage au fond d'une Ă©picerie de pourtant ce que lui reproche la justice, et ce dont il convient volontiers devant la cour d'assises des Bouches-du-RhĂŽne. À un "dĂ©tail" prĂšs ce 28 janvier 2017, au Jas de Bouffan, Malik Ballestero assure avoir seulement voulu faire peur Ă  Yassin, un autre jeune homme du quartier. Pas le tuer."J'avais tuĂ© quelqu'un, je devais le dire Ă  mon pĂšre""C'Ă©tait un samedi, je voulais aller voir mon pĂšre, et il n'Ă©tait pas trop opportun de croiser certains i Il vous reste 80% Ă  lire. DĂ©jĂ  abonnĂ© ? Se connecter Comment accĂ©der Ă  cet article ?
Assisesdes Bouches-du-RhĂŽne Braquage du fourgon blindĂ© de la Loomis : des peines de 8 Ă  30 ans de p. Les avocats des parties civiles : Me Geiger, Me Reis, Me Fabre et Me Levy . L’ISLE-SUR-LA-SORGUE Les six accusĂ©s ont Ă©tĂ© condamnĂ©s par les assises des Bouches-du-RhĂŽne. Hier soir Ă  Aix-en-Provence, la cour d’assises des Bouches-du-RhĂŽne a rendu son Les avocats de la dĂ©fense, Me Anne-Laure Lebert et Jean-François Canis, ont mis le doigt sur les "erreurs" et "mensonges" de l'instruction. Sur "les constructions intellectuelles et manques de vĂ©rifications" de l'enquĂȘte menĂ©e, selon eux, uniquement Ă  charges. Et ont pointĂ© les Ă©lĂ©ments qui prouvent que leurs clients "n'Ă©taient pas chez la victime le soir oĂč elle est dĂ©cĂ©dĂ©e". Ils ont emportĂ© l'intime conviction de la cour d'assises des Bouches-du-RhĂŽne qui a dĂ©cidĂ© d'acquitter SĂ©bastien RibiĂšre et Alexandrine Brugerolle de Fraissinette. Le jeune homme Ă©tait renvoyĂ© devant la juridiction criminelle car il Ă©tait suspectĂ© du meurtre d'une trentenaire, en juin 2011, Ă  Marseille. Sa compagne de l'Ă©poque, la mĂšre du petit Antoine disparu Ă  Issoire en septembre 2008, Ă©tait poursuivie pour recel de cadavre retrouvez l'affaire en cliquant ici. La justice a considĂ©rĂ© qu'ils n'avaient rien Ă  voir avec la mort de cette trentenaire marseillaise, retrouvĂ©e sans vie dans sa baignoire en juin 2011. Pour Me Canis "on ne sait pas comment est morte la victime, ni mĂȘme s'il s'agit bien d'un homicide". La cour a bien parlĂ© d'un dĂ©cĂšs "d'origine criminelle" mais trop de doutes ont pesĂ© et l'acquittement a Ă©tĂ© prononcĂ©. SĂ©bastien RibiĂšre, Ă©galement poursuivi pour trafic de stupĂ©fiants, a Ă©copĂ© de 7 ans de prison il est en Ă©tat de rĂ©cidive lĂ©gale. S'il a toujours assurĂ© ne pas ĂȘtre liĂ© au meurtre, il n'a en effet jamais niĂ© avoir fourni de la cocaĂŻne Ă  la victime. L'homme est en dĂ©tention depuis son arrestation en mai 2012 et y est retournĂ© Ă  la fin de l'audience pour terminer de purger sa peine. Emilie Zaugg Titre: Cour d'assises des Bouches-du-RhĂŽne. Jugement rendu le 8 DĂ©cembre 1868 contre les empoisonneuses marseillaises [avec complainte en provençal et en français / SignĂ© : Marius Decard fils] Éditeur : impr. J. Doucet (Marseille) Nombre de pages : 10 pages; Langue : Français Les jurĂ©s n'ont pas suivi les rĂ©quisitions de l'avocate gĂ©nĂ©rale, Martine Assonion, qui avait rĂ©clamĂ© au terme de quatre jours d'audience cinq ans d'emprisonnement, dont deux avec sursis. Ils ont en revanche assorti la condamnation de 10 ans de suivi socio-judiciaire et d'une obligation de soins. Sophie Villaron, qui s'est fait stĂ©riliser Ă  sa demande pendant sa dĂ©tention prĂ©ventive, "a besoin d'un suivi socio-judiciaire suffisamment long pour se soigner mĂȘme si le risque de rĂ©itĂ©ration est Ă  exclure", a affirmĂ© dans son rĂ©quisitoire Mme Assonion. En octobre 2008, cette mĂšre de famille de trois enfants avait Ă©tĂ© mise en examen pour meurtre sur mineur de quinze ans aprĂšs la dĂ©couverte par deux promeneurs Ă  Orgon Bouches-du-RhĂŽne du cadavre d'un nouveau-nĂ© dans un sous-bois distant d'Ă  peine 200 mĂštres de son domicile. Offre limitĂ©e. 2 mois pour 1€ sans engagement Aux enquĂȘteurs, elle avait racontĂ© que, se sachant enceinte, elle avait, par peur de la rĂ©action de son compagnon, prĂ©fĂ©rĂ© cacher cette grossesse. Sentant des contractions, elle Ă©tait partie accoucher dans les bois oĂč elle avait, pour "l'empĂȘcher de crier", mis sa main sur la bouche du bĂ©bĂ© jusqu'Ă  ce qu'il s'arrĂȘte de respirer. Pour les experts psychiatres et psychologues qui se sont succĂ©dĂ© Ă  la barre, Sophie Villaron fait preuve d'"immaturitĂ© affective" et sa personnalitĂ© est caractĂ©risĂ©e par un "complexe d'infĂ©rioritĂ© et un malaise relationnel". L'avocat de la dĂ©fense, Me Christophe Bass, a expliquĂ© jeudi que sa cliente a Ă©tĂ© "dans un enfermement psychologique pendant 35 ans", demandant des "soins efficaces" Ă  la place d'un "retour en prison". La jeune femme de 38 ans, sans profession, a connu au total six grossesses, dont trois seulement sont arrivĂ©es Ă  terme, et une seule a Ă©tĂ© dĂ©sirĂ©e, pour son deuxiĂšme fils, nĂ© en 2001. Son compagnon, pĂšre de deux de ses trois enfants, s'est portĂ© partie civile dans ce procĂšs. Sophie Villaron a dĂ©ja effectuĂ© 13 mois de dĂ©tention provisoire. Les plus lus OpinionsLa chronique de Sylvain FortPar Sylvain FortLa chronique du Pr Gilles PialouxPar le Pr Gilles PialouxLa chronique de Pierre AssoulinePierre AssoulineEditoAnne Rosencher Courd'assises des Bouches-du-RhĂŽne. Jugement rendu le 8 DĂ©cembre 1868 contre les empoisonneuses marseillaises [avec complainte en provençal et en français / SignĂ© : Marius Decard fils] -- 1868 -- livre
Huit affaires ont donnĂ© lieu Ă  une dĂ©cision de rĂ©vision, toutes suivies d’un acquittement. Parmi ces acquittements, trois ont Ă©tĂ© prononcĂ©s par la cour d’assises du RhĂŽne. Patrick Dils En 1986, Patrick Dils, ĂągĂ© de 18 ans, est soupçonnĂ© d’avoir tuĂ© deux enfants retrouvĂ©s morts prĂšs d’une voie ferrĂ©e Ă  Montigny-lĂšs-Metz. Il avoue les faits avant de se rĂ©tracter et il est condamnĂ© Ă  la rĂ©clusion criminelle Ă  perpĂ©tuitĂ© par la cour d’assises de la Moselle en janvier 1989. Une premiĂšre demande de rĂ©vision est rejetĂ©e en 1990. Dix ans plus tard, la commission est de nouveau saisie, et est Ă©tablie la prĂ©sence du tueur en sĂ©rie Francis Heaulme sur les lieux du crime. En 2001, la cour annule la condamnation. La cour d’assises de renvoi le condamne Ă  20 ans de prison ; en appel, Ă  Lyon, il est acquittĂ©. Francis Heaulme comparaĂźtra l’an prochain devant les assises, nouvel accusĂ© de ce double meurtre. Jean Deshayes En 1949, Jean Deshayes, un docker de Nantes, est accusĂ© d’avoir assassinĂ© un homme. AprĂšs avoir reconnu les faits, il se rĂ©tracte. Il est condamnĂ© Ă  20 ans de travaux forcĂ©s. En 1954, la condamnation des vĂ©ritables auteurs permet de former un recours en rĂ©vision. En fĂ©vrier 1955, il est acquittĂ©, aprĂšs 4 ans de prison. Roland Agret En fĂ©vrier 1973, Roland Agret est condamnĂ© Ă  15 ans de prison pour avoir commanditĂ© le meurtre de son patron-garagiste et d’un autre employĂ©, Ă  NĂźmes. Clamant toujours son innocence, il est graciĂ© pour raisons mĂ©dicales en 1977. En juin 1983, le vĂ©ritable auteur du crime est condamnĂ© pour subornation de tĂ©moin. AprĂšs l’annulation de sa condamnation, Roland Agret est acquittĂ© par la cour d’assises du RhĂŽne en 1985. Rida Daalouche Rida Daalouche, toxicomane, est trĂšs vite soupçonnĂ© du meurtre d’un vendeur de drogue, le 29 mai 1991, dans un bar Ă  Marseille. Il est condamnĂ© par la cour d’assises des Bouches-du-RhĂŽne Ă  14 ans de rĂ©clusion criminelle. En 1996, la commission de rĂ©vision des dĂ©cisions pĂ©nales saisit la Cour de rĂ©vision, suite Ă  la dĂ©couverte d’un certificat mĂ©dical faisant Ă©tat de la prĂ©sence de Rida dans une unitĂ© de dĂ©sintoxication au moment du meurtre. En 1999, la cour d’assises de l’HĂ©rault acquitte Rida Daalouche. Rabah Meradi En 1993, Rabah Meradi est condamnĂ© Ă  15 ans de prison pour viol sur la fille de son Ă©pouse et attentat Ă  la pudeur sur une amie de sa fille. Cette personne se rĂ©tracte trois ans plus tard et est condamnĂ©e pour faux tĂ©moignage. En 1999, la Cour de rĂ©vision annule la condamnation uniquement sur les faits d’attentat Ă  la pudeur. Sa peine ne sera pas rĂ©duite et sa condamnation demeure. Guilherme Ventura Dans le cadre d’un vaste trafic de cocaĂŻne, dit “affaire Topaze”, Guilherme Ventura est condamnĂ©, en 2003, Ă  10 ans de prison pour complicitĂ©. En 2004, en appel interjetĂ© par ses coauteurs, la cour d’assises des Bouches-du-RhĂŽne estime que ledit trafic n’a pas existĂ©. Suite Ă  la formulation de rĂ©vision de sa condamnation, la Cour de rĂ©vision annule celle-ci en 2006. En 2010, il est acquittĂ© par la cour d’assises du RhĂŽne. LoĂŻc SĂ©cher En 2000, LoĂŻc SĂ©cher est accusĂ© de viol et agressions sexuelles sur une adolescente de 14 ans. Trois ans plus tard, il est condamnĂ© Ă  16 ans de rĂ©clusion par la cour d’assises de Nantes, une peine confirmĂ©e en appel par la cour d’assises de Rennes. En 2008, la plaignante se rĂ©tracte, alors qu’elle recevait des soins psychiatriques depuis 1999. En 2010, la Cour de rĂ©vision renvoie l’affaire devant les assises et LoĂŻc SĂ©cher est acquittĂ© en juin 2011. Marc Machin Marc Machin, en 2001, avoue le meurtre de Marie-AgnĂšs Bedot, tuĂ©e Ă  coups de couteau Ă  Neuilly-sur-Seine. Il est condamnĂ© Ă  18 ans de rĂ©clusion criminelle, peine confirmĂ©e en appel par la cour d’assises des Yvelines. En mars 2008, un homme qui vient d’ĂȘtre apprĂ©hendĂ© pour le meurtre d’une autre femme se dĂ©nonce spontanĂ©ment Ă  la police et avoue ĂȘtre le meurtrier de Marie-AgnĂšs Bedot. Le garde des Sceaux saisit la commission, deux ans plus tard la Cour de rĂ©vision ordonne la tenue d’un second procĂšs. Fin 2012, Marc Machin est acquittĂ© par la cour d’assises de Paris, aprĂšs avoir passĂ© sept annĂ©es en prison. - Cet article est extrait d’un dossier paru dans Lyon Capitale n°727 novembre 2013. - Tout notre dossier sur les erreurs judiciaires et la rĂ©vision de procĂšs au pĂ©nal est en ligne ici.
LeprocÚs pour meurtre de Jean-Baptiste Rambla, frÚre de Marie-Dolores Rambla assassinée en 1974, a débuté mercredi devant la cour d'assises des Bouches-du
STATUANT SUR LE POURVOI DE - K... LUC, CONTRE UN ARRET DE LA COUR D'ASSISES DES BOUCHES DU RHONE DU 24 MAI 1983 QUI L'A CONDAMNE A QUINZE ANS DE RECLUSION CRIMINELLE POUR VIOLS SOUS LA MENACE D'UNE ARME, TENTATIVE DE CE CRIME ET ATTENTATS A LA PUDEUR ; VU LE MEMOIRE PRODUIT POUR LE DEMANDEUR ; SUR LE PREMIER MOYEN DE CASSATION, PRIS DE LA VIOLATION DES ARTICLES 249 DU CODE DE PROCEDURE PENALE ET R213-27 DU CODE DE L'ORGANISATION JUDICIAIRE, EN CE QUE LA COUR ETAIT COMPOSEE NOTAMMENT DE MADAME DI TOMASO ET MADEMOISELLE WOYTT, JUGES AU TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE DE MARSEILLE, DELEGUEES AU TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE D'AIX EN PROVENCE PAR ORDONNANCES DU PREMIER PRESIDENT DE LA COUR D'APPEL EN DATE DU 14 MARS 1983, POUR LA DUREE DE LA SESSION SUPPLEMENTAIRE DE LA COUR D'ASSISES DES BOUCHES-DU-RHONE, ALORS QUE SI LE PREMIER PRESIDENT PEUT, SELON LES BESOINS DU SERVICE, DELEGUER LES JUGES DES TRIBUNAUX D'INSTANCE ET DE GRANDE INSTANCE POUR EXERCER DES FONCTIONS JUDICIAIRES DANS LES TRIBUNAUX DU RESSORT DE LA COUR D'APPEL, CETTE DELEGATION NE PEUT EXCEDER UNE DUREE DE DEUX MOIS, SAUF RENOUVELLEMENT POUR UNE MEME DUREE PAR ARRETE DU GARDE DES SCEAUX ; QUE LES DELEGATIONS DES DEUX MAGISTRATS NE POUVAIENT DONC SE PROLONGER AU DELA DU 14 MAI 1983, EN L'ABSENCE D'ARRETE DU GARDE DES SCEAUX LES PROLONGEANT, ET QUE LES DEUX MAGISTRATS N'ETAIENT PLUS COMPETENTS POUR SIEGER A LA COUR D'ASSISES LORS DE L'OUVERTURE DES DEBATS LE 19 MAI 1983 ; ATTENDU QUE, PAR DEUX ORDONNANCES EN DATE L'UNE ET L'AUTRE DU 14 MARS 1983, LE PREMIER PRESIDENT DE LA COUR D'APPEL D'AIX EN PROVENCE A DELEGUE AU TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE DE CE SIEGE, POUR Y EXERCER DES FONCTIONS JUDICIAIRES A COMPTER DU 9 MAI 1983 ET POUR LA DUREE DE LA SESSION SUPPLEMENTAIRE DE LA COUR D'ASSISES DES BOUCHES DU RHONE POUR LE DEUXIEME TRIMESTRE 1983, MME B... ET MLLE WOYTT, TOUTES DEUX JUGES AU TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE DE MARSEILLE ; QUE, PAR UNE AUTRE ORDONNANCE EN DATE DU MEME JOUR, LE PREMIER PRESIDENT A, NOTAMMENT, DESIGNE CES DEUX MAGISTRATS POUR EMPLIR LES FONCTIONS D'ASSESSEURS DU PRESIDENT DE LADITE COUR D'ASSISES LORS DE CETTE SESSION SUPPLEMENTAIRE DONT IL A FIXE LA DATE D'OUVERTURE AU 9 MAI 1983 ; ATTENDU, EN CET ETAT, QUE LES AUDIENCES DE LA COUR D'ASSISES DURANT LESQUELLES LE PROCES DE L'ACCUSE A EU LIEU AYANT ETE TENUES DU 19 AU 24 MAI 1983, LA DELEGATION DE MME B... ET CELLE DE MLLE WOYTT, QUI AVAIENT PRIS EFFET LE 9 MAI DE LA MEME ANNEE, N'AVAIENT PAS A ETRE RENOUVELEES PAR ARRETE DU GARDE DES SCEAUX DANS LES CONDITIONS PREVUES PAR L'ARTICLE R213-27 DU CODE DE L'ORGANISATION JUDICIAIRE, CONTRAIREMENT A CE QUE SOUTIENT LE MOYEN QUI SERA REJETE ; SUR LE DEUXIEME MOYEN DE CASSATION, PRIS DE LA VIOLATION DES ARTICLES 296 ET 592 DU CODE DE PROCEDURE PENALE, - EN CE QUE L'ARRET ATTAQUE MENTIONNE QUE LA COUR D'ASSISES ETAIT COMPOSEE NOTAMMENT DE MESSIEURS ET MESDAMES L... ROGER, DE G... PIERRE, J... MIREILLE EPOUSE Z..., E... FRANCIS, H... RODOLPHE, DI DOMENICO JEAN F..., Y... DIDIER, I... JEAN-LOUIS, A... ANNA, CAMPS JOSETTE D... C..., JURES DE JUGEMENT, ALORS QUE TOUTE DECISION DOIT PORTER EN ELLE-MEME LA PREUVE DE LA COMPOSITION REGULIERE DE LA JURIDICTION QUI L'A RENDUE ; QUE LE NOMBRE DES JURES DE JUGEMENT DEVANT ETRE EGAL A 9, L'ARRET ATTAQUE, QUI CONSTATE LA PRESENCE DE 10 JURES DE JUGEMENT, CONSTATE PAR LA MEME QUE LA JURIDICTION ETAIT IRREGULIEREMENT COMPOSEE ; ATTENDU QU'IL APPERT DU PROCES-VERBAL DES OPERATIONS DE FORMATION DU JURY DE JUGEMENT QUE, LA COUR AYANT ORDONNE QU'EN SUS DES NOMS DES NEUF JURES IL SERAIT TIRE AU SORT CELUI D'UN JURE SUPPLEMENTAIRE, LEDIT JURY A ETE COMPOSE, APRES EXERCICE PAR LA DEFENSE ET PAR LE MINISTERE PUBLIC DE LEUR DROIT DE RECUSATION, DE NEUF PERSONNES, DONT LES NOMS SONT INDIQUES, AUXQUELLES A ETE ADJOINT UN JURE SUPPLEMENTAIRE, CAMPS JULIETTE D... C... ; ATTENDU, EN CET ETAT, QUE LA COUR DE CASSATION EST EN MESURE DE S'ASSURER DE LA LEGALITE DE LA CONSTITUTION DU JURY, SANS QU'IL Y AIT LIEU DE S'ARRETER A LA MENTION, AU DEMEURANT SURABONDANTE, DE L'ARRET DE CONDAMNATION QUI, REPRODUISANT LES NOMS DES JURES, X..., PAR SUITE D'UNE ERREUR MATERIELLE MANIFESTE, AJOUTE LE NOM DU JURE SUPPLEMENTAIRE, A CEUX DES NEUF JURES QUI AVAIENT EFFECTIVEMENT PARTICIPE A LA DELIBERATION DE LA COUR D'ASSISES ; D'OU IL SUIT QUE LE DEUXIEME MOYEN NE SAURAIT ETRE ACCUEILLI ; SUR LE TROISIEME MOYEN DE CASSATION, PRIS DE LA VIOLATION DE L'ARTICLE 304 DU CODE DE PROCEDURE PENALE ; EN CE QUE LE PROCES-VERBAL DES DEBATS, D'OU IL RESULTE QU'IL A ETE PROCEDE AU TIRAGE AU SORT D'UN JURE SUPPLEMENTAIRE, MENTIONNE QUE MONSIEUR LE PRESIDENT A ADRESSE AUX JURES, DEBOUT ET DECOUVERTS, LE DISCOURS CONTENANT LA FORMULE DU SERMENT PRESCRIT PAR L'ARTICLE 304 DU CODE DE PROCEDURE PENALE ; QUE CHACUN DES JURES, APPELE INDIVIDUELLEMENT PAR MONSIEUR LE PRESIDENT, A REPONDU EN LEVANT LA MAIN DROITE JE LE JURE ; ALORS QUE LE JURE SUPPLEMENTAIRE DOIT OBLIGATOIREMENT PRETER SERMENT, MEME S'IL N'A PAS PARTICIPE A LA DELIBERATION ET A LA DECISION DE LA COUR D'ASSISES ; QUE LES CONSTATATIONS DU PROCES-VERBAL DES DEBATS NE METTENT PAS LA COUR DE CASSATION EN MESURE DE SAVOIR SI LE JURE SUPPLEMENTAIRE A PRETE LE SERMENT PREVU PAR L'ARTICLE 304 DU CODE DE PROCEDURE PENALE ; ATTENDU QUE LE PROCES-VERBAL DES DEBATS CONSTATE LES NEUF JURES DE JUGEMENT ET LE JURE SUPPLEMENTAIRE ; ; ONT PRIS PLACE DANS L'ORDRE FIXE PAR LE SORT, AUX COTES DE LA COUR, M LE PRESIDENT A ADRESSE AUX JURES, DEBOUT ET DECOUVERTS, LE DISCOURS CONTENANT LA FORMULE DU SERMENT PRESCRIT PAR L'ARTICLE 304 DU CODE DE PROCEDURE PENALE ; CHACUN DES JURES, APPELES INDIVIDUELLEMENT PAR M LE PRESIDENT, A REPONDU, EN LEVANT LA MAIN DROITE JE LE JURE ; ATTENDU QU'IL RESULTE DE CES ENONCIATIONS QUE LE JURE SUPPLEMENTAIRE X..., COMME LES AUTRES JURES DESIGNES PAR LE SORT, PRETE LE SERMENT REQUIS PAR LA LOI ; QU'AINSI LE TROISIEME MOYEN DOIT ETRE ECARTE ; SUR LE QUATRIEME MOYEN DE CASSATION, PRIS DE LA VIOLATION DES ARTICLES 166 ET 168 DU CODE DE PROCEDURE PENALE, EN CE QUE LE PROCES-VERBAL DES DEBATS CONSTATE QU'AU COURS DE SON AUDITION L'EXPERT DJIAN RAPHAEL A DEPOSE SUR LE BUREAU DE LA COUR UN DOCUMENT, EN L'OCCURRENCE LE TEST DU VILLAGE IMAGINAIRE, ALORS, D'UNE PART, QU'AU COURS DE LEUR AUDITION LES EXPERTS NE PEUVENT CONSULTER QUE LEUR RAPPORT ET SES ANNEXES ; QU'ILS NE PEUVENT SE REPORTER A D'AUTRES DOCUMENTS SOUS PEINE DE VIOLATION DU PRINCIPE DE L'ORALITE DES DEBATS ; QUE LES PRINCIPES QUI VIENNENT D'ETRE RAPPELES ONT ETE MECONNUS DES LORS QU'IL RESULTE DU PROCES VERBAL DES DEBATS QUE DJIAN, EXPERT, ETAIT EN POSSESSION D'UN DOCUMENT QU'IL A DEPOSE SUR LE BUREAU DE LA COUR, LEDIT DOCUMENT, DES LORS QU'IL ETAIT EN POSSESSION DE L'EXPERT, N'ETANT PAS AU NOMBRE DE CEUX QU'IL POUVAIT CONSULTER A L'AUDIENCE, LIMITATIVEMENT ENUMERES PAR L'ARTICLE 168 DU CODE DE PROCEDURE PENALE ; ALORS, D'AUTRE PART, QUE L'EXPERT NE PEUT UTILISER QUE DES DOCUMENTS SOUMIS A LA LIBRE DISCUSSION DES PARTIES AU COURS DE L'INSTRUCTION ; QU'IL NE PEUT ETRE INTERROGE QUE SUR DES PROBLEMES TECHNIQUES RELEVANT DE SA SPECIALITE ; QU'IL N'EST PAS EN EFFET, COMME UN TEMOIN, ENTENDU SUR DES FAITS PARVENUS DIRECTEMENT A SA CONNAISSANCE, QUE LA COUR DE CASSATION N'EST PAS MISE A MEME, PAR LES MENTIONS DU PROCES-VERBAL, DE VERIFIER L'ORIGINE DU DOCUMENT NI SA NATURE ET DE CONTROLER EN PARTICULIER SI L'EXPERT N'EST PAS SORTI DE SON ROLE EN SE COMPORTANT COMME UN TEMOIN, CE QUI NE LUI ETAIT PAS PERMIS ET AURAIT AU MOINS NECESSITE SON AUDITION APRES PRESTATION DU SERMENT PREVU PAR L'ARTICLE 331 DU CODE DE PROCEDURE PENALE ; ATTENDU QU'AUCUNE DISPOSITION DE LA LOI N'INTERDIT A UN EXPERT DE PRODUIRE DEVANT LA COUR UN DOCUMENT EN RAPPORT AVEC SA MISSION, NI AU PRESIDENT D'ORDONNER, EN VERTU DE SON POUVOIR DISCRETIONNAIRE, LE VERSEMENT DE CETTE PIECE AUX DEBATS ; QUE LEDIT DOCUMENT AYANT ETE, CE QUE CONSTATE LE PROCES-VERBAL, COMMUNIQUE AUX PARTIES, IL N'A ETE AINSI PORTE AUCUNE ATTEINTE AUX DROITS DE LA DEFENSE ; D'OU IL SUIT QUE LE MOYEN N'EST PAS FONDE ; ET ATTENDU QUE LA PROCEDURE EST REGULIERE ET QUE LA PEINE A ETE LEGALEMENT APPLIQUEE AUX FAITS DECLARES CONSTANTS PAR LA COUR ET PAR LE JURY ; REJETTE LE POURVOI
Leshoraires sont de 4h00 Ă  11h45 du lundi au vendredi. . Les missions de ce poste, sont : rĂ©pĂ©titives et se rĂ©alisent dans un environnement froid, il peut Ă©galement nĂ©cessitĂ© du port de charges. Enfin, ce poste implique une station debout et assis. annonces autour de Montrevault-sur-Èvre annonces dans le dĂ©partement Maine-et-Loire Cet article date de plus de trois ans. PubliĂ© le 06/04/2019 1033 DurĂ©e de la vidĂ©o 1 min. FRANCE 3 Article rĂ©digĂ© par Le procĂšs "Air cocaĂŻne" a livrĂ© son verdict vendredi 5 avril. La journaliste Nathalie Perez fait le point depuis la cour d’assises des Bouches-du-RhĂŽne. Le verdict est tombĂ© dans le procĂšs de l’affaire "Air cocaĂŻne", vendredi 5 avril. Neuf personnes Ă©taient accusĂ©es d’un vaste trafic de stupĂ©fiants. Parmi eux, deux pilotes arrĂȘtĂ©s en 2013 sur le sol de la RĂ©publique dominicaine, alors qu’ils s’apprĂȘtaient Ă  dĂ©coller vers la France avec 700 kilos de cocaĂŻne. Nathalie Perez dĂ©crypte la situation depuis la cour d’assises des Bouches-du-RhĂŽne. "AprĂšs sept semaines d’un procĂšs-fleuve et plus de 11 heures de dĂ©libĂ©ration, la cour d’assises d’Aix-en-Provence Bouches-du-RhĂŽne a rendu son verdict deux acquittements et des peines allant jusqu’à 18 ans de prison ferme, rapporte la journaliste. Concernant les deux pilotes, qui eux n’ont cessĂ© de clamer leur innocence, la cour d’assises les a condamnĂ©s Ă  six ans de prison ferme." x8WzV3W.
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